D et son fils B achètent cet appartement au dernier étage d’un immeuble de centre ville donnant sur le jardin public à Bordeaux.
Le potentiel se fait sentir dès qu’on y entre mais les espaces y sont très cloisonnés et mal répartis. L’appartement est étendu sur cour par une surélévation en ossature bois revêtue d’une peau en zinc naturel à joints debouts, sur deux niveaux, imperceptible depuis la rue. Le chantier s’inscrit en centre ville, sans accès depuis ni la rue ni la cour, tout est monté à la main par les escaliers. Pièces d’eau et escalier sont déplacés au centre du nouveau volume, concédant la lumière naturelle au séjour et aux chambres. Le charme de l’ancien est révélé : parquet en chêne et cheminée sont rénovés, des murs en pierre sont ravalés et une généreuse hauteur sous plafond dans le séjour est conservée.